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25 novembre giornata mondiale contro la violenza sulle donne

È necessario accrescere la consapevolezza dell'opinione pubblica su questo tema

25/11/2009
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Con la risoluzione 54/134 del 17 dicembre 1999, l'Assemblea Generale delle Nazioni Unite ha dichiarato il 25 novembre Giornata Mondiale per l'Eliminazione delle Violenza sulle Donne, invitando governi, organizzazioni internazionali e ONG ad organizzare attività ed eventi per accrescere la consapevolezza dell'opinione pubblica su questo tema.

In molte città italiane le associazioni culturali ed i comuni organizzano iniziative politiche e culturali in contrasto alla violenza alle donne, per affermare che i diritti delle donne sono diritti umani a tutti gli effetti e qualunque violazione di questi diritti è pertanto una violazione dei diritti umani.

Roma, 25 novembre 2009

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Ecco i testi in lingua francese e inglese della dichiarazione dell'Internazionale dell'Educazione fatta a Varsavia - presente anche la FLC Cgil - nella giornata di oggi.

Déclaration de l'IE à l'occasion de la Journée mondiale pour l'élimination de la violence envers les femmes Il n'y a PAS d'excuse. La violence à l'encontre des femmes relève de l'inégalité entre hommes et femmes.Les syndicats d'enseignants ont un rôle clé à tenir dans le combat contre les attitudes violentes fondées sur le genre et l'IE renouvelle son engagement pour les droits humains et l'égalité entre hommes et femmes.2009 marque le 10ème anniversaire de la proclamation par les Nations Unies du 25 novembre comme étant la Journée mondiale pour l'élimination de la violence contre les femmes, les 20 ans d'existence de la Convention sur les droits de l'enfant (CDE) et les 30 ans d'existence de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), le traité international des droits humains pour les femmes adopté en 1979.Les Conventions CEDAW et CDE pour les droits des femmes et des enfants font avancer l'égalité des genres. Elles sont complémentaires et se renforcent l'une l'autre. La CDE stipule que les droits garantis s'appliquent de façon égale aux garçons et aux filles et apporte une protection aux femmes, telle que des soins pré- et post-natals, l'éducation sur les avantages de l'allaitement maternel et l'éducation et les services concernant le planning familial. Les deux conventions connaissent des records en termes de ratification: 193 Etats pour la CDE et 186 pour le CEDAW.Toutefois, l'idée que les femmes et les enfants soient détenteurs de droits est loin d'être reconnue universellement. Partout et dans chaque société, les femmes et les filles sont battues, violées ou forcées d'entretenir des relations sexuelles. En plus de l'impact que cela peut avoir sur leur santé, leur bien-être et leur vie, les conséquences économiques et sociales sont considérables.Ce que font les syndicatsLes syndicats d'enseignants peuvent élever leur voix concernant ce problème. En plus du rôle que les enseignants jouent dans l'apport de compétences pour la vie et l'encouragement d'attitudes positives non-violentes, la vie des enseignants et leur participation au sein de syndicats, de l'éducation et de la société se trouvent limitées par la persistance de différentes formes de violence envers les femmes (harcèlement, codes vestimentaire, stéréotypes, etc.).La première Conférence mondiale des femmes de l'IE, « Objectif Egalité », qui se tiendra à Bangkok en mai 2010, fournira l'occasion de développer une compréhension commune des concepts d'égalité entre hommes et femmes dans les syndicats, l'éducation et la société. Des groupes de travail lors de la Conférence s'intéresseront à l'impact des multiples formes de discrimination, reconnaîtront que la violence envers les femmes constitue une violation des droits humains et mettra l'accent sur femmes et les filles en tant que détentrices de droits.Les participants à la Conférence analyseront aussi ce qu'il est nécessaire de faire afin de changer les schémas dominants de la masculinité en des schémas qui soient équitables du point de vue du genre et non-violents.Dans le même temps, les affiliés ont également l'opportunité de répondre à l'enquête actuelle de l'IE passant en revue les progrès effectués et identifiant les défis existants relatifs à la condition des femmes dans les syndicats, l'éducation et la société, incluant la violence fondée sur le genre.La collaboration est la cléL'IE en appelle à ses affiliés pour que vous fassiez part de vos actions, de vos interventions et vos recherches sur des matières émergentes. Nous portons tous la responsabilité d'apporter notre contribution afin de réduire la violence aux niveaux individuel, local, national et mondial. L'IE fait un pas en avant pour la protection des droits des femmes et des hommes au sein des syndicats, de l'éducation et de la société.

Statement on International Day for the Elimination of Violence against Women" There are NO excuses. Violence against women is a matter of inequality between women and men. Teacher unions have a key role to play in combating gender-based violent attitudes and EI renews its commitments for human rights and equality between women and men. 2009 marks the 10th anniversary of the proclamation by the United Nations of 25 November as International Day for the Elimination of Violence against Women; the 20- year existence of the Convention on the Rights of the Child (CRC) and the 30-year existence of the Convention on the Elimination of All Forms of Discrimination against Women (CEDAW), the international human rights treaty for women adopted in 1979. The Conventions CEDAW and CRC for women's and children's rights advance gender equality. They are complementary and reinforcing. The CRC provides that the rights protected apply equally to boys and girls and grants protection to women, such as pre- and post-natal care, education on the advantages of breastfeeding, family planning education and services. Both conventions have a record of ratifications: 193 States for the CRC and 186 States for CEDAW. However, the idea that women and children are the holders of rights is far from universally recognized. Everywhere and in every society, women and girls are beaten and abused or coerced into sex. In addition to the impact on their health, wellbeing and lives, the social and economic consequences are enormous. What unions are doing Teacher unions can raise their voices about this issue. In addition to the role teachers play in providing life skills and in nurturing positive non-violent attitudes, teachers' lives and participation in unions, education and society are being limited by the persistence of different forms of violence against women (bullying, dress codes, stereotypes, etc). EI's first World Women's Conference "On the Move for Equality" to be held in Bangkok on May 2010 will provide an opportunity to develop a joint understanding of the concepts of equality for women and men in unions, education and society. Conference workshops will address the impact of the multiple forms of discrimination, will acknowledge violence against women as a human rights violation and will place emphasis on women and girls as rights holders. Conference participants will also analyse what it would need to change dominant constructions of masculinity into ones which are gender equitable and non-violent. In the meantime, affiliates also have a key opportunity to respond to a current EI survey reviewing progress made and identifying the existing challenges related to the status of women in unions, education and society, including gender-based violence. Collaboration is key EI calls on affiliates to share your actions, interventions, and research on emerging areas. All of us are accountable for playing our part in reducing violence at the individual and local, national and global levels. EI is moving forwards to achieve the protection of rights for women and men in unions, education and society.